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Monday, August 15, 2011

Les bases appliquées.



        La base de toute la philosophie contemporaine est la déclaration de Descartes qui est connue à tout le monde: « je pense donc je suis ».
       Certainement, il va s’agir pas de cela, mais sur un autre cas particulier qui est capable d’être appliqué à la réalité moderne et prémoderne. La théorie pure (c’est-à-dire la théorie sans vérification d’expérience) en accumulant avec le temps des défauts devient-elle faible et injustifiée. La pensée purement théorique se conduit comme un ensemble de grandes quantités des opérations avec les nombres approximatifs: les défauts s’accumulent. Elles s’accumulent, quoique les données initiales aient l’air comme les données exactes, ne suscitant aucun doute.
       Vous imaginez-vous que n’importe qui vienne de créer une théorie et en commencement essentiel partirait-il d’une erreur absolue, par exemple, comme si la forme de la Terre soit un cube. Quel destin historique serait-il de la philosophie pareille ? Elle serait tombée dans l’oubli depuis longtemps et ne se serait conservée que pour égayer et amuser les lecteurs.
       Non. Il n’y a aucune philosophie qui se baserait sur un absurde sincère. Tout a l’air convaincant comme les arbres avec ses troncs, les branches fondamentales qui sont vues assez distinctivement. Puis tel arbre se couvre-t-il par branches moins considérables, puis par petites branches et enfin par les moines branchettes. Tout ça graduellement se transforme en fourré auquel il ne peut que se perdre. C’est naturel que chaque créateur loue son ouvrage. Parfois on entend les louanges de sorte: «la doctrine de Marx est toute puissante, puisqu’elle est juste».
       Vous pouvez dépenser toute la vie, en étudiant chaque petite branchette de cet arbre théorique ou de plusieurs arbres (bien sûr, si vous ne manquerez pas de la durée de la vie) et vous n’apprendrez pas jusqu’au bout, qui d’eux est juste en effet. Mais si vous goûteriez un fruit de cet arbre ou de l’autre, alors vous comprendrez tout sans dire.
       Faites attention au fait: est-ce qu’on peut établir en théorie la vénénosité d'un champignon vénéneux? Il est possible qu’il n’y ait personne qui se chargerait d’exécuter ce travail. Nous ne cueillons pas les champignons vénéneux, en sachant les expériences fatales de ceux qui sont empoisonnés.
       Il est arrivé à telle manière que le précédent siècle vingtième est passé comme un siècle de la connaissance, le siècle des expériences. L’expérience avec philosophie du marxisme est passée presque parfaitement: beaucoup des peuples assez différents sont-ils pris pour l’expérience, les peuples avec religions et mentalités toutes différentes; les niveaux du développement et de l’aisance étaient-ils tous différents aussi. Et les socialismes mêmes ne manquaient-ils de la diversité, y compris même le national-socialisme d’Allemagne. Et maintenant indiquez-moi quoiqu'un seul pays, quoiqu'une seule région où la doctrine de Marx cultiverait-elle le paradis terrestre. Mais ne parlez pas sur la Chine qui s’est élevé pour compte de la tromperie de tout le monde par sa production bon marché mais bonne à rien, pas pour compte des idées du marxisme-léninisme. La conclusion est évidente: les idées du communisme sont le poison. Le communisme, aussi le national-socialisme – ils sont le poison qui est jeté à la poubelle de l’histoire depuis longtemps. Et seulement les pays qui sont les plus arriérés envers l’idéologie, tirent-ils cette charogne de la poubelle et la goûtent. L’Allemagne est devenue grande, développée et libre sans n’importe quels «führers». Il n’y a que les pays malchanceux songent-ils en les personnes de certains citoyens sur Lénine, Staline et Hitler.
       Nous vivons dans le temps heureux où le fruit empoisonnant est discerné, le fruit empoisonnant qui attirait et séduisait comme ça pendant quelques derniers siècles. Ces connaissances sont extraites par l’énorme prix, par prix des dizaines millions des vies humaines. Il n’y a que ceux qui manquent du courage pour couper des habitudes abjectes qui sont héritées de massé amer, ceux qui laissent aller de se tromper, de s’induire en erreur – c’est ils qui continuent à adorer les idoles découronnés depuis longtemps, qui continuent à adorer les idoles et se servir aux forces sataniques du communisme et du fascisme. Parfois ils essayent de mettre la comparaison absurde les idées du communisme et le christianisme. Voilà nous sommes atteints à une base fondamentale.
       Christ prêchait l’avantage de personne sur la société: «Heureux serez-vous, lorsque les hommes vous haïront, lorsqu'on vous chassera, vous outragera, et qu'on rejettera votre nom comme infâme, à cause du Fils de l'homme! Réjouissez-vous en ce jour-là et tressaillez d'allégresse, parce que votre récompense sera grande dans le ciel; car c'est ainsi que leurs pères traitaient les prophètes». (Luc 6.22-23).
       Voilà, c’est ici où le communisme pratique donne-t-il les recommandations tout opposées. À chaque pas on suggère qu’un homme qui est seul soit-il une nullité, mais tout ensemble soit la grande force. Le résultat auquel cette «grande force» mène-t-elle, un homme politique célèbre a parlé très bien sur cela: «On voudrait comme mieux, mais il est arrivé comme toujours» (Tchernomyrdin). Et il sera arrivé toujours comme ça, puisque c’est une régularité naturelle: là-bas où un troupeau a de préférence et l’individualisme est méprisé, et l’initiative est étouffée – n’attendez pas que dans la situation sociale pareille à créera-t-on ou produira-t-on quelque chose d'utile. Si c’est les marchandises – elles ne passeront pas concurrencer. Si c’est les réunions sociales – elles seront très semblables au «Quatuor» d’après célèbre écrivain des fables Krylov. (Cette fable raconte, comme quatre animaux-musiciens qui ne savent pas à jouer bien et changent leur lieu sur la scène toujours, mais la musique reste mauvaise malgré tout). Et dans ce cas il n’y a pas besoin de beaucoup la théorie. À quoi bon la théorie, tandis que il y a des exemples évidents dans les pays développés et prospères de l’Ouest où l’individualisme a lieu principal, pas collectivité à la manière soviétique. Là-bas où a lieu L’AVANTAGE DE PERSONNE SUR LA SOCIETE, mais pas contraire. C’est la base fondamentale de la réalité et il est facile de retenir cela.
       La deuxième base est les valeurs éternelles: DIEU, L’AMOUR, LA VERITÉ, LA LIBERTÉ. Ce sont les valeurs véritables, contre lesquelles la société impose les valeurs fausses: «la Mère-Patrie» (en URSS), une Partie, un État, une organisation (n’importe quelle). Dans ces questions il aurait de préférence pas s’appuyer sur n’importe quels raisonnements qui emmènent n’importe où loin et pour longtemps, mais sur des exemples pratiques. Dans l’
Angleterre il n’y a aucune conception de la «Mêre-Patrie» dont la radio BBC a parlé une fois assez net et clairement. Bien sûr, les Anglais, les Américains et certains d’autres aiment ses pays, mais il y a quelque chose de quoi on peut les aimer. Si n’importe qui d’eux perdrait son pays – il perdra la liberté, la loi qui le protège, il perdra la possibilité d’appliquer au bien des concitoyens et avec cela sans faute au bien de soi-même et sa famille – en somme, il perdra tout. Mail si un Russe perdrait son pays – qu’est-ce que perdra-t-il? est-ce que sont les bureaucrates multipliant et sans talent lesquels il nourrit? les employeurs, lesquels ne payent impunément le salaire à temps, quoique ce soit contre loi? les flics, lesquels ne le défendent pas en majorité des occasions, mais ils le peuvent une fois inculper de crime qu'il n'a point commis? Les canailles, lesquelles peuvent une fois secrètement à faire exploser ou pilonner ouvertement sa maison, en partant de la raison d'aventurisme politique. Ou les gredins-là, lesquels enverront son fils une fois, contre sa volonté à "réprimer le Caucase" qui signifie en fait à commettre le génocide en apportant les morts et les destructions, enfin payer tout cela de sa vie? Il est évident qu'en vue de devenir un homme libre qui peut estimer soi-même, il suffit pas beaucoup: pour cela suffit-il de se rendre compte de personnes exposées ci-dessus que c'est ils qui sont tous les ennemis réels, les mêmes occupants, lesquels ont anéanti son pays réel en 1917 et que la "Mère-Patrie" - laquelle veut-on à faire aimer - ce n'est qu'une idole satanique, par laquelle ces canailles tentent de justifier chacun son crime, et cette idole n'a rien à faire avec la patrie réelle, à laquelle le poète Esénine a dédié une poésie. Il ne serait superflu à rappeler que Hitler forçait à aimer la "Mère-Patrie" aussi et, bien sûr, la nation que nous ferons à peu près d'attention. Et maintenant il ne serait superflu de rappeler que les adeptes du patriotisme à la soviétique indiquent-ils à l'Ouest, comme si les gens occidentaux sont patriotes pas moins que ceux dans la Russie. Je parlerais de ce que oui, ils sont les patriotes aussi, mais pas les mêmes. Et le patriotisme occidental distingue par celui-ci qu'à l'Ouest c'est l'État qui est pour l'être humain, mais pas l'être humain pour l'État que les travailleurs d'idéologie et les éducateurs patriotiques essayent-ils tout d'imposer obstinément. Essayez de suggérer à n'importe quel Américain que depuis qu'il est né, tout juste, il est obligé certaines dettes impayables à l'États-Unis. Je suppose qu'il estimerait que vous êtes devenus fou. Aimer sa patrie - il n'y a rien mauvais en cela à condition qu'il y ait quelque chose dont il l'est possible d'aimer. Mais si quelqu'un chante hosannah à l'État qui le maltraite - c'est l'encensement d'esclave et un indicateur évident de la mentalité d'esclave.
       Le concept «nation» est examiné dans l’oeuvre «Высокогорье» («Le Pays des Montagnes») en chapitre IV et il ne faudrait pas manquer quelque chose se découpant encore sur les évènements passants, un aspect des questions nationales qui n’y est pas examiné. Oui, n’importe quelle nation est une foule, et il ne la faut pas mettre dans la même série avec les valeurs éternelles, aussi il ne faut pas imputer l'appartenance nationale à une personne isolée en qualité d’une faute ou d’un mérite ou examiner cela comme un objet de la fierté. Ici il s’agit de la libération des nations isolées du régime soviétique ou du pareil celui-là, la libération qui maintenant est nommée «les révolutions orange» que je ne peux qu’à saluer. Par exemple, l’Ukraine ne peut pas libérer tous les pays asservis comme la Chine, la Nord Corée ou la Cuba. L’Ukraine ne peut que l’Ukraine à libérer et pas partiellement, mais au total.
       Voilà où un danger se cache, un danger de la disposition incorrecte des valeurs. Les gens qui aident à libérer sa nation, ils le font pas pour la nation, mais pour la liberté à premier tour, pour chaque homme isolé serait-il libre. En processus de la libération chaque personne agit pour libérer soi-même et ses proches selon esprit ou selon parenté, point en qualité de l’obligé qui paye n’importe quelle dette inexistante à n’importe quelle nation abstraite.
        Le mécanisme des relations nationales n’est pas très compliqué. Il est relativement simple et il n’y a aucune nécessité à créer les labyrinthes philosophiques autour la question des relations nationales. Il est assez à assimiler une simple règle dès le début: si un homme n’est pas connu à nous, et nous ne savons que sa nationalité, nous avons le seul droit de parler sur la probabilité du comportement attendu, mais nous n’avons aucun droit moral à juger l’homme selon sa nationalité.
La seule relation négative qui est admissible envers un homme inconnu, c’est la méfiance, mais cela ne dépende pas aussi de l’appartenance nationale. Et cette méfiance en n’importe quel cas ne doit-il pas d’avoir l’air insultant comme le verrou à porte ou signalisation aux fenêtres n’ont-ils rien d’air insultant.
       Le désaccord national est le mal qui peut repousser réciproquement ces gens qui pourraient se battre la main dans la main efficacement contre un ennemi commun, et ce désaccord n’est approuvé ni dans la Bible, ni dans le Coran, ni dans la Bhagavad Guita, ni dans les autres Saintes Écritures. Et le mal principal se trouve en cela qu’au lieu du joug dont il est établi le but à se libérer, un autre joug est proposé , le joug de service à la nation. Ainsi ça va certaines régressions à la direction de l’avantage de nation sur ses représentants en vue de la dette impayable et éternelle ou de l’autre construction démagogique, c’est-a-dire, la régression à la direction de préférence la société sur Individu, la préférence qui mènera inévitablement au totalitarisme si on ne s’arrêterait pas à temps.
       L’avantage de Personne sur la société, cela n’est point un pouvoir sur la foule. C’est pourquoi n’importe quel despote est une certaine part de cette foule, et n’importe quelle part de cette foule ne peut pas être la Personne, ni supérieur, ni inférieur. La position avantageuse se trouve au-dehors de la foule, pas au-dedans. Il n’y a aucune nécessité à se trouver physiquement au-dehors de la foule. Il s’agit de l’ermitage spirituel, c’est-à-dire, avoir sa propre opinion, ne pas juger par les catégories et les concepts de la foule, pour ne s’arrêter pas en développement, mais se développer encore, se perfectionner, pour ne tenir pas compte de l’opinion de la foule ou n’inviter pas la foule dans son propre système des valeurs en général. C’est le même individualisme occidental réel. Et les choses principales qu’il faille à retenir pour toujours, elles ne sont que deux:
       LA BASE PREMIERE: l’avantage de Personne sur la société – c’est le christianisme véritable. L’avantage d’une société sur Personne – c’est le mal satanique qui mène au totalitarisme.
       LA BASE DEUXIEME: ceux sont les valeurs véritables lesquelles libèrent: DIEU, L’AMOUR, LA VERITE, LA LIBERTE. Les «valeurs» fausses qui asservissent – ce sont: la nation, l’État, la «Mère-Patrie», la partie.
       C’est vous qui choisirez entre ces valeurs. Il n’y a personne qui ferait ce choix au lieu de vous-mêmes.
FIN

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