Total Pageviews

Wednesday, December 17, 2014

Haut Pays Chapitre I. L'appel pour la Voie.

       Tu viens de prendre ce livre aux mains. N'enquiers-toi pas de mon prénom, car cela dirait sur rien. Je ne suis ni un ange et ni un saint, mais je suis le même que tu, c'est-à-dire, un être humain qui est né sur la planète Terre au même milieu du siècle agité et contrastant, du siècle XX; et je suis né à l'aube du soleil, quand il se trouvait au milieu de la constellation d'Écrevisse, et la Lune, en étant au déclin, elle le suivait, en retardant de deux constellations zodiacales, quand les oiseaux aux forêts ne s'éveillaient pas encore, elle luisait comme lettre "C" dans le ciel matinal.
       Je t'invite à un voyage au pays des plus hautes montagnes; c'est plus haut que l'arrêt ultime où l'autobus serait capable de monter. Et au-delà de ce point iras-tu à pied solitairement.
       Il y a des règles appropriées dans ces montagnes. Celui-ci qui se trouve plus bas, pas toujours peut-il voir celui-là qui se trouve plus haut, et même s'il lui voit, alors il ne le pourra pas comprendre.
       Je crois qu'il y a un sommet dans ces montagnes, le sommet qui est plus haut que la Mont Everest, et cette croyance m'attire en haut là-bas.
       Et plus haut je monte, plus de beauté s'ouvre devant moi, et cela raffermi ma foi que je suis sur la bonne voie.
       Voilà pourquoi avec compassion regarde je à la foule qui se rassemble à l'arrêt ultime, au-delà de lequel l'autobus ne peut pas monter. Ils croient comme s'ils aient atteint leur but et tout le reste soit fait par un autre.
       Ceux qui ont atteint cet arrêt d'autobus, ils croient aussi qu'il y a la Maison là-bas sur la plus haut Montagne où ils sont attendus toujours, néanmoins comme s'ils n'y aient pas besoin d'y aller.
       Certains d'eux brûlent d'envie de se mettre en route, mais en jetant un coup d'oeil à la foule, ils perdent son assurance tout de suite.
       Ceux-ci qui sont debout au bas, ils ne peuvent pas comprendre ceux-là qui ont l'audace de monter plus haut, et ils crient: "tu te démènes! Il est dangereux là-bas! Tu as laissé la voie vraie. Tu tomberas au Col Fétide! Écoute-nous, nous sommes dans le vrai, parce que nous sommes un grand nombre".
       Et en écoutant eux, et en confiant à eux, celui-ci qui a failli se mettre en route, il retrace, en baissant la tête et en éteignant son regard, en proférant d'un air coupable: "c'est au-dessus de mes forces. Il sera mieux, je séjourne ainsi que toutes ensemble".
       Néanmoins, il avait assez de forces, mais il les a perdu. En croyant que la majorité ait raison toujours; il a perdu ses forces.
       Bien sûr, cette foule porterait profit, si elle élève quelqu'un, qui périssait au Col Fétide, jusqu'à son niveau. Grâce à eux, le sauvé fera un grand pas en avant, s'il se joint à eux. Néanmoins, celui-ci qui brûlait d'envie de monter en haut, il ferait un pas en arrière; sans désirer de se séparer de l'entourage.
       ET SANS DÉSIRER DE SE SÉPARER DE L'ENTOURAGE, IL N'EST PAS POSSIBLE DE MONTER PLUS HAUT QUE CET ENTOURAGE OÛ TU T'A TROUVÉ (OU TROUVÉE) À L'AIDE DE TON CHOIX PLUS QUE DES VICISSITUDES DU DESTIN.
       Mais tu as pris aux mains ce livre, et je t'invite au voyage et je ne dissimule pas que ce voyage est dangereux. Et se pourquoi élève ta prière à Dieu Unique que tu crois et pour que ni moi, ni quelqu'un d'autre, personne sauf Il-Même ne soit te sauvegardera.
       Crois en Dieu, et Il ne t'abandonnera pas et ne te laissera pas à périr sur la voie qui est prescrite pour toi par Il.
       Car si tu dis, "à quoi bon tout ça à moi?" et tu continues à séjourner au niveau qui est atteint, plus longtemps tu restes là-bas, plus fort une tristesse inexplicable t'étranglera.
       Et n'importe quels biens de vie aurais-tu atteint, ils te réjouiront pour deux-trois mois, mais tu t'accoutumeras à eux vite et auras envie de quelque chose plus grand. En atteignant ce qui est plus grand, en réjouissant toi par rayonnement excellent peu de temps, il tombera en poussière aussi.
       ET UN JOUR TU APPRENDRA QUE TU MANQUES L'ESSENTIEL.
       En voyant que tu séjournes à la même place, des visiteurs mal venus commenceront à te visiter à titre des petits malheurs et désagréments. Néanmoins, si tu continues de faire des erreurs, alors tes visiteurs mal venus reviendront chez toi et chaque fois ils seront devenus plus grands et auront un aspect toujours plus effrayant et ils ne renonceront pas. Cela continuera jusqu'à ce que tu quittes tes erreurs et que tu comprennes tout un effroi de ton choix erroné.
       Tu diras: "cela ne peut pas être. S'il va comme ça, ce serait cruellement et pas justement".
       Mais il faut donc te réveiller. TU ES NÉ À VIVRE, MAIS TU AS CHOISI LA MORT. TU VIS UNE VIE QUI N'EST PAS COMPLÊTE. ET LA RESPIRATION QUE TU RESPIRES, N'EST PAS COMPLÊTE. IL N'Y A PAS D'ENTRAIN DANS TES YEUX.
       Et la mort que tu as choisie, elle est comparée avec un sommeil profond. Et plus profondément tu dormes, plus fort agira ce Qui Réveille.
       Une fois tu as fait un choix erroné. Et plus longtemps tu persistes en cela, plus clairement verras-tu ta faute.
       PARCE QUE LA VIE EST DONNÉE À TOI, POUR QUE TU TIRES DES LECONS.
       Et ta faute, ta leçon désapprise apparaîtra devant toi en plus et plus gros plan, et chaque fois toujours plus et plus laide. Et ... un jour tu comprendras tout.
       Passant plusieurs cercles des souffrances qui seront toujours augmentants, tu chercheras la sortie, en voulant enfoncer toutes les portes.   
       Beaucoup de portes seront verrouillées, mais si tu chercheras avec zèle, et tu seras forcé de chercher avec zèle, une foi tu saisiras une porte qui sera ouverte.
       Et alors tu te recorderas qu'on t'appelait, mais tu ne venais pas. Et alors tu comprendras que tu perdais le temps en vain. N'est-ce pas mieux se mettre en route maintenant?

No comments:

Post a Comment