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Wednesday, November 26, 2014

Le bétail populaire.

Dès le début il faut remarquer que l'origine l'homme de singe, aussi la majorité des autres aspects de la théorie de Darwin - tout cela ne sont que les hypothèses en fait, pas des faits prouvés à l'aide de la science. Cependant on peut observer la ressemblance du comportement conformiste chez l'espèce d'animaux assez différente, non seulement chez mammifères. L'instinct du conformisme fonctionne efficacement et impeccablement. Il suffit de remarquer un danger par un seul membre du troupeau, cette peur transmet en un instant à tous d'un troupeau qui ou bien se met en fuite, ou bien occupe la position défensive, tout ça en dépendance de la sorte du danger.

Si nous prendrions un laps de temps à peu près 100 ans, évidemment, il n'y a pas observé du développement évolutionniste, c'est pourquoi cet instinct ne peut endommager à rien, c'est pourquoi il n'y a rien de cela, qui peut être endommagé. Il ne serait superflu à remarquer que le comportement conformiste au troupeau des animaux, n'est-il aucune conséquence de n'importe quelle contrainte. Un individu qui est se séparer du troupeau, ne serait-il comme un objet d'attention fixe, aussi c'est plus probablement qu'il soit ignoré par troupeau. Et le comportement de l'homme primitif, peu probable qu'il puisse se distinguer considérablement de celui-ci des animaux grégaires et cela est indépendantement de l'origine réelle des êtres humains.

On pourrait consacrer une énorme quantité des pages à la description de la transformation progressive de la situation primitive à cette situation sociale qu'on nomme "civilisée" qui dure pendant quelque mille années dernières. Il est possible qu'il y ait ceux qui ont envie d'étudier et décrire cette transition progressive de la situation sauvage à celle civilisée, il est possible aussi que n'importe quelle utilité aurait lieu de ses recherches, mais nous ne possédons pas de machine de temps pour retourner au passé loin et apporter nos corrections à ce processus et c'est le plus probable que pour le mieux. Cela est pour le mieux, car l'intervention au cours naturel des évènements, comme d'habitude, elle ne mène pas à n'importe quel bien. Mais nous sommes devant le fait qui est déjà accompli: nous habitons ce monde civilisé établi, malheureusement, avec l'instinct du conformisme se conservant et pour apporter de correction à son propre destin - chacun est libre à faire cela. C'est pourquoi nous allons examiner la civilisation et la société à la condition que nous les ayons trouvées, en étant né dans cette époque, et qui existent pendant quelques siècles derniers.

Par exemple, nous prendrions n'importe quel laps de temps dans cette période historique, partout et toujours une régularité est observée, le même modèle d'un aspect intéressant des relations sociales: le modèle de l'opposition d'une personne douée et de la foule arriérée et médiocre, c'est-à-dire, du bétail populaire.

Jésus-Christ mentionnait beaucoup de fois dans les Évangiles sur les persécutions des Prophètes et des Professeurs de l'humanité, et enfin Il Même est devenu une victime de telle persécution. Il paraîtrait que la part de l'humanité qui a cru en Lui, les chrétiens comme en Dieu et les musulmans comme en Prophète, c'est elle qui aurait reçu une bonne leçon à l'avenir et aurait dû de tirer des conclusions correctes. Mais le bétail populaire de tous les temps et de tous les peuples, c'est il qui refait tout toujours à sa guise. Et dans le cas donné une opinion totale est formée que ce soient les Juifs qui sont coupables en persécution à Christ. Mais en réalité sur la Terre il n'y avait pas tel pays, il n'y avait pas telle nation où Jésus-Christ ne serait pas subi à persécutions du bétail populaire d'une manière ou d'une autre. En accusant des Juifs, la même foule à la même manière continuait de persécuter ceux-là qui sont plus nobles et plus intelligents qu'elle est; ceux-là étaient persécutés par elle, qui menaient l'histoire et le progrès à l'avant. À l'époque tournante de la Renaissance, sous la couverture de la "chasse aux sorcières" on a brulé vifs Jean Gous et Janne d'Arc et beaucoup d'autres personnes admirables. Cette lutte, cette opposition aggravait à chaque époque historique des changements.

À vingtième siècle cette opposition est aggravée comme jamais. Les mots prophétiques de Jésus-Christ sont réalisés:

"Je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas; si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez."

Et ils sont venus "en son propre nom": Lénine, Staline, Hitler. Et ils tentaient d'implanter un enfer sur la Terre, mais l'humanité a gagné ce round avec les pouvoirs de l'obscurité. Le bétail populaire adorait avec obséquiosité les dictateurs sanglants, étendait les chemins de tapis devant eux, croyait en leurs promesses sans preuves, applaudissait. Mais le mal qui est imaginé comme tout-puissant, c'est il qui a ses propres faiblesses malgré tout. La faiblesse première: les pouvoirs du mal ne peuvent pas exister en paix entre l'un et l'autre. La faiblesse deuxième: la vie selon mensonge fera sentir négativement sur l'économie tôt ou tard. Justement ces deux facteurs, c'est ils qui ont sauvé l'humanité.

Revenons au Moyen Âge tardif et à la Renaissance. Précisément dans cet instant de l'histoire le commencement du progrès est-il mis. Il s'agit du progrès non seulement technique, mais aussi du progrès social. Maintenant c'est à temps à mentionner en abrégé la psychologie de l'homme de la foule, c'est-à-dire, la psychologie de la vis du système.

C'est impensablement de s'opposer contre l'opinion publique pour un homme de la foule. Il ne s'habitue pas à penser indépendamment. Son cerveau est développé à la même façon, mais il n'en utilise pas. C'est pourquoi d'être seul est péniblement et terriblement pour lui. Au contraire, en se trouvant dans la foule, le soutien de cette foule peut annuler telles forces puissantes comme l'instinct sexuel et même celui de conservation. Justement, il existe le dicton russe: "На миру и смерть красна". (Dans le monde même la mort est belle). S'il va avec foule là-bas où il y a du danger, la même présence de la foule le calme, le berce, l'endort. Si quelqu'un est tombé mort près de lui, il sent que tel accident est peu probable avec lui, la foule continue de marcher, cela signifie qu'on peut. Bien sûr, il ne raisonne pas comme ça, il sent comme ça. Ainsi, il n'a pas besoin des efforts héroïques à vaincre ses instincts, car l'instinct de conformisme l'aide. S'il commencerait à raisonner, à penser, il apprendra qu'il est trompé, que beaucoup des choses ne coïncident pas, que sa présence là-bas est absurde, mais il ne raisonne pas, ni pense. Et ainsi il permet de l'utiliser comme un pion, il ne sait pas, dans quels jeux douteux.

Comment un homme de la foule ne sent-il pas un danger, à la même manière il peut faire n'importe quel mal et n'en comprendre pas au total ce qu'il fait. S'il commence à douter, il est assez de jeter un coup d'oeil à l'entourage, et si les gens ne le jugent pas, mais au contraire, elles font le même, il se sent justifié par avance. Les instincts du mal qui sont cachés profondément dans la subconscience, maintenant ils s'échappent à l'extérieur avec toutes les suites possibles. La force du bétail populaire, c'est réel qu'elle est une grande force, mais la force sans raison, comme si aveugle, et certaines personnes démoniaques l'utilisent.

Alors, comment peut-on expliquer le susdit progrès qui est matériel et social à la fois? Je parlerais ne social pas, mais social-moral et ce serait plus exact, mais le sens du mot "moral" (russe "нравственность") pendant les derniers siècles son sens dévaluait et défigurait. Le sens de ce mot maintenant ne réfléchit-il pas ce qui est mis à l'origine, mais il réfléchit quelque chose puritain, une interdiction, quelque chose de l'humeur du bétail populaire. Au lieu de la pureté réelle en liberté, maintenant ce sens exprime la pureté imaginaire au joug, en résignation aux opinions de la foule stupide. Au refus de mot "moral", l'adjectif "social" appliqué au substantif "progrès", il doit embrasser plus largement les catégories proches positives, car c'est le progrès, duquel il s'agit, mais aucune dégradation. Je vous rappelle: nous venons de s'approcher de l'instant où il faut expliquer le paradoxe: devant l'emprise mondiale du bétail populaire, tout à coup l'humanité s'échappe de la stagnation médiévale et devient capable de progresser. Pourquoi donc passe-t-il comme ça?

Il est certain que dans n'importe quel pays, sans exception, le bétail populaire vit sans méditations profondes, selon certain patron fixé. Ce patron on nomme "les traditions". Il ne serait point une faute grave à supposer que ces traditions sont se former par hasard. Elles sont se former comme la suite de la composition fortuite des circonstances, qui sont vécues ou à travers lesquelles l'un ou l'autre peuple est passé. C'est la comparaison assez admissible: il a eu de la chance (ou il n'a pas eu de celles) à chaque peuple avec la situation géographique et les ressources territoriales, à la même façon on peut parler sur la chance (ou mal chance) avec les traditions qui se sont formées. Ainsi, chez les certaines nations il n'était pas blâmable à être insociable, se renfermer dans le cercle de la famille ou dans le cercle des amis qui a certains intérêts communs (n'importe quels intérêts). Cela a donné à certaines personnes une possibilité de se développer, et comme une suite naturelle, d'appliquer pour le bien du progrès son propre potentiel qui est développé sans freinage retenant de la société. Ceux-là pays où il avait lieu la tradition à transformer ses propres citoyens en esclaves, en contredisant aux doctrines de toutes les religions mondiales, c'est là-bas où s'est formée la tradition du collectivisme forcé et du contrôle total sur personne.Le destin de ces pays est à rester au moyen Âge jusqu'au temps du changement leurs traditions en direction de la liberté personnelle. Sans cela à eux n'aidera ni travaillent serviles des millions détenus, ni territoires énormes, ni l'abondance des minéraux, ni le vol des inventions, même dans les buts de la supériorité militaire. Les moeurs de l'individualisme, (voilà ce qu'est la morale réelle) elles sont dirigées à la liberté de personne, à la vérité, à l'amour vers prochain et tous les pays où les moeurs pareils dominent, ces pays résolvent les problèmes avec succès, qui semblent insolubles dans les siècles passés, ceux-là comme le problème de la discrimination nationale et raciale, le problème de la misère et de la sous-alimentation et enfin le problème de la morale puritaine qui défigurait le christianisme véritable pendant quelques siècles.

Dieu a donné à l'homme l'intellect non pour ce qu'il reste inactif. Un homme qui s'appui aux traditions et ne pense pas à l'aide de sa propre tête - c'est le même qu'un homme qui en avant ses propres pieds sains, mais va avec des béquilles. Jetez les béquilles et allez à l'aide de vos propres pieds! Si votre allure sera le même - c'est bien. Si votre allure changera après cela - c'est bien aussi. L'essentiel est ce que l'allure sera le vôtre. Si votre comportement continuera-t-il convenir aux traditions du milieu social - rien de terrible. S'il traversera ces limites - rien de terrible aussi. Vraiment au cas dernier il serait mieux de chercher un autre milieu qui traiterait vous avec plus de tolérance. Pour ce que vous pourriez d'être libres, il ne faudrait pas se soucier du progrès de l'humanité. Il faudra se soucier de votre propre progrès, le vôtre progrès personnel. En se réalisant comme une personne, déjà vous aidez à toute l'humanité pour elle deviendrait plus parfaite, et c'est assez. Il n'y a rien plus besoin de vous pour le bien universel. Si vous cessez d'être une part du bétail populaire, une "vis" du système - déjà vous pourrez être sûr que toute l'humanité vient d'avancer un peu vers la Lumière.

En intitulant cette oeuvre-là "le bétail populaire", je n'avais point en vue une caste ou un état. Quelqu'un qui est chargé de préjugés de caste ou de national ou de racial - il même est un représentant typique du bétail populaire qui peut se trouver un clochard, un savant ou un chef d'État - n'importe qui. Une personne libre peut se trouver n'importe qui aussi, et comme la pratique historique a fait voir - n'importe où, même dans tels États serviles et conformistes comme l'Union Soviétique, la Chine, la Corée du Nord. Pour sortir de la situation de bête il n'y a pas besoin de l'argent, il ne faut pas falsifier l'appartenance de l'ordre, il n'y a aucun besoin de changer sa religion (C'est pourquoi tous les Professeurs de l'humanité et les Prophètes desquels les religions différentes sont provenu, tous ils parlaient de la même Vérité. C'est le sujet long qui a besoin d'un livre isolé. Si Dieu permettrait, il sera écrit bientôt).

En effet, il ne peut personne vous retenir violemment en condition du bétail, à cause d'une seule raison, car personne peut lire vos pensées, sauf Dieu. Il n'y a rien de honteux ou irréparable que vous étiez un représentant du bétail populaire en passé. Tout le monde est passé à travers ça, car ils sont trouvés dans la société dès l'enfance. Il n'y a qu'une chose honteuse, c'est le manque volonté de sortir de cette situation. Votre personnalité ne dépend que d'un seul facteur: de votre propre choix. Et il n'y a besoin que d'une chose pour cesser d'être un part du bétail populaire - ce soit commencer à penser à l'aide de sa propre tête et d'abord vérifier sans fautes: une ou une autre pensée est-elle la vôtre ou de quelqu'un étranger l'a imposé à vous? Par la suite, quand vous vous habituerez à penser à l'aide de sa propre tête, alors, il ne serait plus ce besoin de la maîtrise de soi.

Alors, tout est dans vos mains: faire la vie intéressante et vive (l'expérience fait voir que la vie reste comme ça, même aux conditions sévères aussi) ou trainer l'existence misérable et absurde dans laquelle il y a une mal chance: devenir un pion en jeux sataniques étrangers.

L'instinct de conformisme qui tellement bien dépannait les troupeaux humains sauvages, c'est pourquoi il était très utile, maintenant au passage à la situation civilisée devient-il un poison empoisonnant la vie. Le même instinct n'est pas un mal, c'est comme un feu. Un feu peut éclairer, réchauffer, mais là-bas où il sort de sa place, par exemple, il se jette d'un four aux rideaux, ainsi il devient le mal sans doute. L'instinct de conformisme devient la racine du mal dans le monde civilisé. Et la même civilisation n'est point un mal. C'est l'humanité n'est pas prête pour aller selon la voie civilisée du développement. En posant le pied sur la voie, il faudra refuser de la mentalité de troupeau toute de suite.

Je vais achever cet essai avec une ma citation préférable. Herzen dans son livre "de l'autre berge" avait écrit: "ne cherche pas ordonnances dans ce livre. Il n'y a-t-il pas d'eux". Mais assez possible, bien imperceptiblement pour soi-même, il avait donné telle ordonnance:

"Si chaque fois que les gens voudraient sauver le monde, se sauvraient eux-même et au lieu de libérer l'humanité, se libéreraient eux-même. Combien d'entre-eux auraient-ils pu sauver le monde et libérer l'humainté!"

Pour se libérer, il ne suffisamment que seul votre désir.

F I N


Le texte russe originale 
Traduction en anglais
Traduction en allemand
Traduction en finlandais
Traduction en espagnol

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